En ces temps difficiles et déprimants dans notre société aux multiples maux, je me retrouve à chercher du réconfort dans la nostalgie
de ma jeunesse avec ces contes de fées. Puis, je me dis que la formule « And they lived happily ever after…» a maintenant un goût amer.
Voici donc comment est né le concept d’opposer le poids de la charge mentale et des responsabilités adultes, à la légèreté et la naïveté
de l'enfance. Je ramène le fantastique dans la platitude du réel.
Pour ce faire, j’ai mis en lumière cette dissonance en jouant
d’un contraste entre un sujet à l’air dépassé, à la pose décontractée
et des costumes flamboyants de personnages de conte de fées
dans un décor gris morne et brut. On peut lire dans ce triptyque
une personne désillusionnée, trompée, délaissée par la société
qui échoue à subvenir à beaucoup de besoins pour une vie de qualité
et une chance d'accéder au bonheur.
de ma jeunesse avec ces contes de fées. Puis, je me dis que la formule « And they lived happily ever after…» a maintenant un goût amer.
Voici donc comment est né le concept d’opposer le poids de la charge mentale et des responsabilités adultes, à la légèreté et la naïveté
de l'enfance. Je ramène le fantastique dans la platitude du réel.
Pour ce faire, j’ai mis en lumière cette dissonance en jouant
d’un contraste entre un sujet à l’air dépassé, à la pose décontractée
et des costumes flamboyants de personnages de conte de fées
dans un décor gris morne et brut. On peut lire dans ce triptyque
une personne désillusionnée, trompée, délaissée par la société
qui échoue à subvenir à beaucoup de besoins pour une vie de qualité
et une chance d'accéder au bonheur.
Projet Augmenter le réel, réalisé dans le cadre du cours Photo : lumière naturelle, à l'Uqam, donné par Alessandra Amandine
